IV) Pourquoi j’ai envie de changer ?

25 nov

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Rien de va plus ! 

On se sent responsable de cet état de fait et nous cherchons les causes. Nous voulons changer et cela permet de nous grandir, nous changeons nos habitudes, nous voulons apprendre de nouvelles choses, mais parfois nous sommes bloqués ! Il faut l’accepter. Notre avancement se fera peut être seul ou avec l’aide d’un thérapeute.

Si nous avons de la colère, il ne faut pas la nier. Tout être à de la colère en lui. Il est difficile de maitriser ses sentiments de colère, mais il est possible de décider de ne pas l’extérioriser. A nous de faire le choix et d’adopter le comportement acceptable pour tout le monde. Il est préférable de demander de l’aide lorsqu’on n’arrive pas à dépasser cette colère. A chaud il est préférable  d’accepter en nous notre sentiment de colère plutôt que de se mettre à hurler.

Le sentiment d’insécurité, de confiance en soi fait que nous agissons qu’à des stimulations extérieures.  Il ne faut pas faire en fonction des autres. Il faut réagir. Prendre des initiatives, ne pas se laisser manipuler. Faites preuves d’autorité sur vous-même et sur vos sentiments.

Evitons d’êtres pessimistes, nous ne pouvons pas être aimés et nous ne pouvons pas nous aimer. Même si nous ne nous sentons pas la force d’agir par manque d’énergie, trouvons des solutions et nous serons alors fiers de nous et notre estime augmentera.

Notre comportement n’exprime pas forcément nos sentiments, des facteurs extérieurs peuvent intervenir. Il faut arriver à maîtriser nos sentiments pour que notre comportement change.

* nous pouvons avoir peur de nos sentiments 

            ° colère= crier hurler

            ° peur= trembler, s’isoler

            ° triste= pleurer, ruminer

Mais nous pouvons avoir ce genre de ressenti sans en avoir les conséquences, pour cela il faut se discipliner et être maître de nous, tout en acceptant nos sentiments et trouver une autre solution pour les extérioriser. La nature humaine est comme cela, il ne faut pas craindre nos émotions.

*je suis malheureux et pourtant j’ai tout ! 

Le « tout » est du matériel, l’apparence, rien d’autre. Ce n’est pas pour autant que nous sommes en paix avec nous même.

*pourquoi j’ai de la rancœur en moi ? 

Souvent auprès de nos proches, nous donnons trop sans penser à nous et je pense que nous attendons le retour qui ne vient pas. Pour ne pas ressentir ce sentiment, il faut donner aux autres que si nous en avons envie et sans attendre de contreparties, sinon il faut se faire plaisir avant.

*je ne comprends rien et je critique tout ! 

Qu’est ce qu’il m’arrive ?  Il y a une carence dans notre vie, un besoin de changement. Il faut l’accepter et se concentrer sur nos besoins pour trouver une solution. Si nous critiquons c’est que nous avons peur au fond de nous. Nous ne pouvons pas ne pas critiquer les autres si nous ne sommes pas capables de nous accepter tel que nous sommes. Et nous critiquons souvent les personnes qui ont les mêmes défauts que nous, car nous n’acceptons pas nos défauts. Nous devenons décourageants auprès des autres mais aussi pour nous.

*je peux être possessif 

            ° en amitié

            ° en amour

Cela vient de notre sentiment d’insécurité. Nous voulons satisfaire nos besoins par des personnes extérieurs. Nous ne sommes pas surs de nous. Rien ne nous appartient, il ne faut pas chercher « une béquille » pour être bien. Faire pour nous ce que nous attendons des autres est la meilleure solution.

*je pleure souvent ou jamais 

C’est parce que nous essayons de maîtriser nos sentiments comme on nous l’a toujours inculqué depuis notre prime enfance. Il est normal de pleurer, c’est une réaction à nos sentiments.

*je ne me défends jamais 

C’est par peur d’affirmer notre personnalité. Mais pour nos relations extérieurs, ce n’est pas bon, les gens nous perçoivent fatiguant, donc ne nous fréquentes plus ce qui fait que l’on se retrouve seul. Et on recherche nos besoins affectifs, physique, relationnel mais nous sommes seuls ! Pour éviter cela, il faut s’affirmer, dire ce que l’on pense, ce que l’on est et cela nous permet de  développer notre potentiel. Avec cela, les gens que nous verrons viendront pour ce que nous sommes et pas pour ce que nous voulons paraître.

* je ne dis jamais NON 

C’est par un manque de sentiment d’insécurité car nous ne sommes pas ce que nous voudrions être. Et nous ne savons pas ce que nous voulons. Mais en faisant cela nous attendons la même chose en retour. Et bien non, les personnes qui nous demandent toujours quelques choses ont eux confiance en elles et elles ne nous disent jamais oui à nos attentes, nos demandes. Apprenons à dire non si nous n’avons pas envi de le faire. Nous nous sentirons mieux.

*comment je réagis ? 

En cas de violence ? Avons-nous peur ou pas ? Quelque soit la réponse nous ressentons un sentiment d’insécurité, de peur. Nos besoins sont insatisfaits.

*j’ai été maltraité 

            ° violence affective

            ° violence physique

            ° violence sexuelle

Cela nous fait perdre notre respect de notre personnalité. On pense que nous ne méritons pas d’être aimé, ni d’être en sécurité, nous n’avons rien de commun avec les autres.

Nous ne sommes pas responsables ce que nous avons subis. Nous ne méritions pas d’être maltraités. Nous sommes victime et pas responsable. Il faut se dire « ce n’est pas ma faute ».et se dire que nous sommes bon. Mettons nous en colère contre votre agresseur cela est salutaire, mettons nous en colère pour ce qui nous est arrivé, parlez en ! Et après nous arriverons à pardonner non à accepter, et là, nous pourrons lâchez prise, ne plus être sur la défensive

*pourquoi ? 

° rien ne marche : acceptons-nous comme nous sommes. Ne cherchons pas à ressembler à un autre. Il faut se consacrer du temps, du repos, être nous même tout simplement.

° je rate tout : nous nous sentons vides et pas surs de nous. Nous souffrons mais que faire ? Il faut nous recentrer sur ce que nous pouvons maîtriser et changer. Ne rien attendre des autres sauf de thérapeutes. Acceptons-nous tel que nous sommes, comblons-nous.

° je me sens bien nulle part : nous ne savons plus rien de notre personnalité. Ont ne sait pas ce que l’on vit ce qui se passe ; cherchons un endroit qui nous est familier de notre enfance et concentrons nous sur nos souvenirs. Recherchons cette quête de ce que nous sommes en vérité. Nous nous sentirons surs de nous pour redevenir nous même dans ce cadre.

° je désire mourir : on y songe comme à un remède à notre souffrance. Si nous avons cette pensée c’est que nous n’avons pas de maîtrise de nous. Parfois, c’est aussi pour punir les personnes qui nous font du mal, donc souffrir. Nous ne voyons pas comment sortit de ce coté négatif mais cela est du au découragement. C’est une solution de facilité, cela ne demande aucun courage. Le courage sera de parcourir le chemin difficile et sortir de ce tunnel. Mais nous ne savons pas quels sont nos raisons de vivre.

° j’ai peur de demander de l’aide : on nous a appris à être forts et demander est une faiblesse ! Et alors ! Tout le monde a besoin d’aide un jour ou l’autre. Les gens ne sont pas dans notre vie alors il faut demander si besoin.

° pourquoi je suis différent : chaque être est différent. C’est ce qui fait le monde. Nous sommes tous unique. Mais si nous nous sentons différent nous nous concentrons la dessus et cela abouti à la solitude. Nous avons tous besoin des autres. Nous nous ressemblons à tous rechercher un sens à notre vie, à chercher à nous épanouir, à faire du bien autour de nous. Voilà des ressemblances.

 

5 Réponses à “IV) Pourquoi j’ai envie de changer ?”

  1. unpeudetao 15 août 2009 à 19 h 28 min #

    Bonjour!
    Ce qui me dérange dans ce texte, c’est « il faut »…
    Nous faisons des rencontres, nous avons un chemin, et un jour, nous comprenons et nous acceptons de nous faire aider si nous n’y arrivons pas seul…
    Oui tout peur, peur du changement, peur de souffrir encore, une fois que nous avons pu voir, entendre ou ressentir, nous avançons…
    Etre, l’objectif de tout le monde… Mais être est différent selon chacun…
    Amicalement, Unpeudetao!

    bonjour,
    mais heureusement que chaque être est ifferent ;)
    le « il faut » est une « image » afin de se donner la force d’avancer dans sa vie
    bien à vous


    Dernière publication sur Contes, légendes, fables et histoires. : Histoire de cheval (Conte soufi)

  2. isabelled.monalisa 9 décembre 2008 à 12 h 20 min #

    Nathalie,
    Oui il faut pleurer, cela permet d’exterioriser et de sortir son mal être afin d’evacuer la soupape mais je ne pense pas que les larmes guerissent, elles soulage.
    Pour ce qui est de la carapace, je pense que toute personne qui a souffert se forge cela, et il est tres difficile de s’en debarasser, si, petit à petit, morceau par morceau, mais il ne faut pas hesiter à faire l’analyse complete et se faire aider si besoin car sinon c’est nos enfants plus tard qui souffrirons.
    prends soin de toi
    je t’embrasse
    isabelle

  3. Nathalie 9 décembre 2008 à 11 h 49 min #

    Je viens de lire cette page, il y a tant de mots, tant de contexte, tant d’extrait qui me parlent.

    Tout cela est tellement vrai, et tout cela, longtemps à force de lire à droite à gauche m’a appris beaucoup, tant et si bien qu’à l’heure actuelle j’ai pas mal avancé.

    Le chemin est long pour apprendre à s’extérioriser, à ce recentrer, à s’accepter et s’aimer surtout quand tout ceci, a été inscrit intrinsèquement par le biais de personnes destructrices.

    Apprendre à dire non, avoir peur, se sentir perdu, nul, en colère fait tellement partie de la source voire condition humaine, qu’il est bon de se sentir rassuré un jour afin de prendre confiance en soi.

    Les Autres, tous différents, sont un besoin naturel pour tous. Tous tendons a ce besoin de l’Autre, c’est ce qui donne un sens à notre vie, et il est sûr qu’il faut accepter l’autre tel qu’il est, mais je tenterais à rajouter que l’on ne peut tout accepter du comportement de l’Autre, alors la colère sert à s’exprimer et à extérioriser les douleurs cachées pour envisager l’acceptation et peut être le pardon.

    Longtemps, j’ai appris par conditionnement qu’il ne me fallait pas pleurer à la violence d’Autrui (proche, qu’elle soit morale ou physique, tant et si bien que cette impression donne l’image d’un conditionnement à la limite du masochisme. Alors, au fil du temps se dresse un portrait comme une effigie emblêmatique, une sorte de carapace à la peau dure. Mais toute écorce est friable ou fissurable et là, quand elle tombe en lambeau, le fer forgé qui recouvrait le corps se détache, et en ce contenant tout le contenu finit par se déverser. Tôt ou tard, les larmes se deversent à flot, il pleut à verse en son corps et c’est le tsunami qui ravage. Il faut pleurer, car pleurer permet de laver si n’est de soigner. Les larmes sont une éponge, chacune d’entre-elles raniment un souvenir ou quelque chose et le plus important, c’est qu’elles permettent à l’individu d’éviter la folie…

    Merci…

    Bises
    Nathalie.

  4. isabelled.monalisa 25 novembre 2008 à 23 h 16 min #

    Booguie,
    Et oui, le changement fait peur. La peur de l’inconnu, d’être seul(e), fait que parfois on se resigne ou on agit
    merci pour ta franchise
    bises
    isa

  5. booguie 25 novembre 2008 à 14 h 05 min #

    tellement vrai
    mais bien souvent on ne peut faire autrement
    la peur de se retrouver seul nous fait accepter un peu n’importe quoi et qui est souvent à des lieux de ce que l’on souhaiterait
    c’est comme ça
    pleuré une bonne soupape de sécurité qui nous empêche d’exploser et puis cela nous vide et nous permets de passer à autre chose
    bise mona, bonne fin de journée à toi

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