Petits mots de ma fille
26 mar
Non je n’ai pas peur que tu me mente, ni de la vérité que tu pourrais m’avouer, car on a dit qu’on devait se faire confiance. J’ai seulement peur de ne plus y arriver, de ne plus pouvoir te croire, après tout ce qu’il s’est déjà passé.
Face à nos propres cauchemars les choix sont restreints : Se battre ou s’enfuir ? On espère trouver la force de lutter contre nos peurs, mais parfois on fuit malgré soi. Et si le cauchemar nous poursuit… Alors où peut-on se cacher?
C’est parfois dans un regard ou dans un sourire, que sont cachés les mots que l’on a jamais su dire.
On croit tout savoir, mais un jour on s’égare. Et l’autre s’en va, et c’est la fin d’une histoire.
Observons mieux les autres et ce qui nous entoure. Et soyons heureux de nos vies. Profitons encore de notre jeunesse, de cette capacité à pouvoir tout survoler et diriger, pendant qu’il en est encore temps.
Votre fille à beaucoup de talent comme toujours.
nathalie
bonjour, il est parfois difficile d’admettre que l’on a tort que l’autre que l’on entend plus a raison …
savoir aussi dire ces sentiments est tout aussi important et permet dans le repect de l’autre de continuer de vivre..
bises babeth
Bonjour Isabelle,
Se battre ou s’enfuir…
Et si ce n’était aucun des deux « mon colonel », et qu’on laisse s’exprimer ce qui est enfoui au plus profond du coeur, or des ressentiments, et qu’on profite enfin de l’instant présent ?
C’est pas le Pérou, mais n’est-ce pas tout ce qu’il nous reste avant de sombrer dans la pénombre des regrets, quand nos aînés nous ont quittés…
Communiquons si c’est possible avec l’autre tant qu’il est vivant !!!
Ce que j’en dis…
Gros bisous,
Jean-Jacques.
Dernière publication sur : Adieu Manitas...
le dialogue entre mère-fille, ou tout ce qu’on aimerait se dire et qu’on ne dit pas pour ne pas se faire de la peine.
Coucou… Je viens te faire le bisou de l’amitié… Il faut savoir profiter du temps qui passe même si la vie n’est pas ce que l’on attend d’elle. Beaucoup d’interrogations dans ton post. Bisous